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Israël dans les mains de Dieu

Alors qu’Israël est champion de la vaccination, que ses chercheurs ont des résultats probants concernant un médicament contre le corona, et que de nombreux Juifs sont à l’origine des « trouvailles » et remèdes, tel Albert Bruce Sabin, né Abram Saperstei (1) qui a développé le vaccin antipoliomyélitique…, le monde ne réagit pas concernant les charges d’accusations constantes menées par l’Onu, l’Unesco, les Droits de l’homme ou la CPI. Et L’Iran aidé de ses sbires, le Hamas (et le Fatah), le Hezbollah et la Syrie, continue de fourbir ses armes (nucléaires) en toute tranquillité en vue d’anéantir l’Etat hébreu.

La CPI, ou Tribunal contre les crimes de guerre, est partie en guerre contre Israël, seule démocratie au Moyen-Orient, et fer de lance de la guerre contre le terrorisme. Pourtant, Madame Fatou Bensouda, procureure de la Cour pénale internationale (CPI), déploie tous ses efforts pour condamner Israël quand Tsahal réagit contre les roquettes du Hamas. Pour cette femme, cela équivaut à « des crimes de guerre », alors que régulièrement, des attentats, des assassinats, sont commis en Israël par ces personnes mêmes qu’elle défend.

Hillel Neuer, directeur de UN Watch (ONG de contrôle pour le bon respect des droits de l’homme), qualifie les Droits de l’homme de « cirque de l’hypocrisie » : il a noté qu’entre 2006 et 2021, Israël a « bénéficié » de 90 condamnations, quand la Turquie, la Russie, la Chine, le Qatar n’ont eu droit qu’à zéro condamnation (l’Iran, 10).

Israël, toujours bouc émissaire

Pendant 2000 ans, les rois en Europe ont largement « utilisé » les Juifs à leur profit, et lorsque les caisses royales étaient vides, ils expulsaient (ou massacraient) les Juifs pour confisquer leurs biens. Aujourd’hui, le monde se sert toujours des Juifs – ils excellent dans tous les domaines, et raflent les prix Nobel. Mais lorsqu’Israël est accusé, il n’y a plus personne pour les défendre, sauf du temps de Trump, avec notamment l’ambassadrice à l’ONU Nikki Haley qui était littéralement l’avocate d’Israël.

Le roi David qui incarnait la nation d’Israël disait : « Que ceux qui me haïssent sans cause, cessent de m’insulter du regard… Ils tiennent un langage qui n’est pas celui de la paix, ils méditent la tromperie (sur mon peuple) … ; ils ouvrent contre moi leur bouche…. Seigneur, réveille-toi, réveille-toi, pour me faire justice. Mon Dieu et mon Seigneur, défends ma cause ! » – Ps 35 :19-23.

Il n’y a que Dieu qui défende Israël, en fin de compte ! La question peut être posée tout de même à l’Eglise : où sont les chrétiens qui défendent « la cause de Sion », qui se lèvent pour dénoncer l’injustice ou s’opposer aux détracteurs ?… L’Eglise sera-t-elle encore « le Lévite » qui passe son chemin ?… N’y a-t-il pas non-assistance, ou non-amour, pour le « premier-né de l’Eternel » ? Jésus lui-même a dit que ceux qui ne portent pas assistance aux plus petits de ses frères, accusés injustement, seront jugés durement.

Mais soyons lucides. La haine d’Israël est bien la haine de Dieu, celle du Dieu de Jacob. Ce « Jacob-là », incarné par l’Israël d’aujourd’hui est honni par le monde, le Prince du monde ou Amalek. Et l’antisémitisme ou antisionisme n’est finalement que le rejet du Dieu Créateur.

Les signes sont là : les nations symbolisées par les instances internationales pointent le doigt accusateur sur Israël – « … toutes les nations de la terre s’assembleront contre elle (Jérusalem) » (Zacharie 12 :3). La suite est déjà écrite (v.9) : « Lorsque ce jour viendra, Je détruirai toutes les nations qui attaqueront Jérusalem… et Je répandrai sur la maison de David et sur les habitants de Jérusalem, un esprit de grâce… ».           

Israël est dans les mains de Dieu.

(1) En 1969-1972, Albert Sabin/Saperstei a vécu et travaillé en Israël en tant que président de l’Institut Weizmann des sciences à Rehovot. Il a refusé de breveter son vaccin (entré en usage commercial en 1961), renonçant à toute exploitation commerciale par les industries pharmaceutiques, afin que le bas prix garantisse une diffusion plus large du traitement. Grâce au développement de son vaccin, Sabin n’a pas gagné un seul dollar et a continué à vivre de son salaire de professeur ; avec son vaccin, il a joué un rôle clé dans l’éradication de la maladie.

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